Camino del Norte : en préambule

A mes yeux, le Norte s’inscrit dans la lignée du Francès : si tu as fait un, découvre l’autre, et inversement.

C’est donc tout naturellement que pour mon second Grand Chemin, mon choix s’est porté sur le Norte.

Mais cette fois, faute de temps, non plus au départ de chez moi, mais directement de la frontière Espagnol. De Hendaye/Irun, plus exactement.

Le Norte a la réputation d’être plus physique que le Francès, puisqu’on longe en permanence la chaine Cantabrique qui plonge directement ses pieds dans l’océan Atlantique.

Il est aussi souvent « vendu » comme une alternative moins fréquentée du Francès. Moi qui aspire au calme, à la sérénité et à la solitude, cela devrait plutôt me convenir…

Après Liège-Santiago-Fisterra en 2015, après une « toute petite » piqûre de rappel en 2016 avec Liège-Reims, voici donc enfin un nouveau Grand Chemin, un nouveau défi, même si je n’aime pas utiliser ce mot dans le cadre d’un pèlerinage. Parce que ça n’est pas un défi, il n’y a rien à battre ou à prouver, il n’y a aucune gloire à en tirer. Juste le plaisir de marcher et de laisser venir à moi ce que la Providence voudra bien m’apporter…

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